Denis Diderot (Français)

autres écrits

pendant toute la période de son association avec L’Encyclopédie, Diderot continue de se consacrer à d’autres écrits. En 1746, il publia des pensées philosophiques, qui s’intéressaient à la question de la relation entre la nature et la religion. Il considérait la vie comme autosuffisante et considérait que la vertu pouvait être maintenue sans croyances religieuses. Dans la marche des sceptiques (1747) et Lettres sur les aveugles (1749), Diderot passe lentement du théisme à l’athéisme., La Religion est devenue un thème central dans ses écrits, et il a suscité l’hostilité des fonctionnaires qui le considéraient comme un chef des radicaux, « un homme intelligent, mais extrêmement dangereux. »

en 1749, Diderot a été emprisonné pendant 3 mois à cause de ses opinions dans les pensées philosophiques. Bien qu’il ait déclaré: « Si vous m’Imposez le silence sur la religion et le gouvernement, je n’aurai rien à dire », après sa libération, il a réduit le caractère controversé de ses œuvres publiées., Par conséquent, la plupart de ses œuvres matérialistes et antireligieuses et plusieurs de ses romans n’ont pas été publiés de son vivant.

Au cours de sa longue carrière littéraire, Diderot s’est éloigné de l’approche mécanique de la nature, caractéristique de l’utilisation par les Anglais des découvertes de Sir Isaac Newton. Des œuvres telles que le rêve de D’Alembert, la Conversation entre D’Alembert et Diderot, des réflexions sur l’interprétation de la Nature, des éléments de physiologie et un essai sur Sénèque indiquent avec éclat l’évolution de sa pensée et sa modernité.,

dans ses écrits Matures, Diderot tend à considérer L’homme comme partie intégrante d’une nature organique et vitaliste, régie par des lois qui lui sont incompréhensibles. La Nature, selon Diderot, est un processus qui se déroule continuellement, qui se révèle, plutôt que d’être révélé par l’homme. Les formes dans la nature se développent à partir de formes antérieures dans un processus en constante évolution, dans lequel tous les éléments, animés et inanimés, sont liés les uns aux autres. L’homme ne peut connaître la nature que par l’expérience; la spéculation rationaliste lui est donc inutile pour comprendre la nature.

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